Tuesday, September 27, 2011

MONT SAINT AUBERT - BELGIQUE

Mont-Saint-Aubert (en wallon Mont-dlé-Tournai) est un village de Belgique situé en région wallonne, au nord-ouest de la province de Hainaut, à quatre kilomètres au nord de la ville de Tournai.À l’époque gallo-romaine, le mont Saint-Aubert, alors appelé mont Minerve, était un lieu de culte ; les druides y cueillaient le gui en vue de célébrer l’équinoxe du printemps. À l’arrivée du christianisme, l’appellation païenne a été remplacée par celle religieuse de mont de la Trinité. Au milieu du viie siècle, il prit le nom de mont Saint-Aubert. Saint Aubert, évêque de Cambrai, était un ermite qui avait choisi de vivre en reclus au mont. Il y exerçait le métier de boulanger et, avec l’aide de son âne, vendait le pain aux riches pour redistribuer la recette aux pauvres. C’est en son honneur qu’on nomma dès lors son village Mont-Saint-Aubert.Au xxe siècle, le tourisme connaît une formidable croissance à Mont-Saint-Aubert. Dès 1927, un hôtel de huit chambres ouvre ses portes. Jouissant d’un panorama exceptionnel sur le tournaisis, il fut logiquement appelé hôtel Belle-vue. En 1936, lui succéda l’hôtel du Lion qui servit de refuge aux allemands lors de la seconde guerre mondiale. Aujourd’hui, les nombreux sentiers jalonnants le mont font de celui-ci un endroit privilégié pour les randonneurs et cyclistes. De nombreux restaurants et cafés y sont présents venant profiter de l’attrait touristique de la petite montagne. De plus, le Floréal Club "Le Panoramique"1. propose plusieurs logements et un panel d’activités très varié avec notamment la plus ancienne piste de luge d’été de Belgique.Situé sur le flanc ouest du cimetière de Mont-Saint-Aubert, le jardin des Poètes réuni les sépultures de neuf poètes issus notamment de l’association Unimuse et de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. L’architecte tounaisien Léopold Henno s’est vu attribué la réalisation du projet. Le 8 mai 1971, le jardin des Poètes est inauguré à l’occasion du 80e anniversaire de son mécène Géo Librecht. Celui-ci dira de ce lieu où il est aujourd’hui enterré qu’il forme un « arc de cercle où viennent se placer les tombes individuelles en éventail, orientées vers la France. »

Thursday, May 20, 2010

MEMORIAL SOVIETIQUE (Treptower Park à Berlin)

Mémorial soviétique (Treptower Park)

Statue du soldat avec l'enfant et la croix gammée brisée

Le Mémorial soviétique du Treptower Park est un monument et un cimetière militaire situé dans le Treptower Park à Berlin en Allemagne. Ce mémorial est dédié à tous les combattants de l'Armée rouge tombés lors de la Seconde Guerre mondiale.

Erigé en mai 1949, il fut construit à l'initiative de l'Armée soviétique et est l'œuvre d'artistes d'URSS.

Le mémorial du Treptower Park abrite également la sépulture de 4 800 soldats soviétiques, tués au cours des derniers jours de la bataille de Berlin en mai 1945.

740 000 soldats de l'Armée rouge sont morts au combat uniquement en Allemagne entre 1941 et 1945.

Mémoriaux soviétiques à Berlin

L'Armée Rouge y aménagea trois lieux commémoratifs après la Seconde Guerre mondiale. La conquête de Berlin coûta la vie à 20 000 soldats soviétiques. Ces mémoriaux ne sont pas seulement des commémorations du triomphe contre le national-socialisme, mais sont principalement des sépultures pour les soldats et donc des cimetières militaires soumis aux conventions de Genève. Le cimetière de Treptower Park est le plus important des trois. Les deux autres sont le mémorial de Schönholzer Heide et celui de Tiergarten.

Histoire de la construction

La construction du mémorial a fait l'objet d'un concours organisé par l'Armée d'occupation soviétique. Cinquante-deux projets ont été déposés. Le Treptower Park était auparavant un terrain de sport et de jeux. C'est le projet d'une association d'artistes qui, en juin 1946, a été choisi. L'architecte Iakov Bielopolski, le sculpteur Ievgueni Viktorovitch Voutchetitch, le peintre Alexandre Gropenko et l'ingénieur Sarra Valerius participèrent à la construction du mémorial du Treptower Park dont la construction s'achève en mai 1949.

La statue du soldat de l'Armée rouge a été restaurée en octobre 2003 par une entreprise de Rügen (Mecklembourg-Poméranie-Occidentale) et ramenée à Berlin par bateau. Depuis le 4 mai 2004, la statue se trouve à nouveau sur son socle.

Description

Venant de l'allée de Pouchkine on passe sous une grande porte en granite. Des textes sur des bas-reliefs, écrits en allemand et en russe, honorent les héros : Ewiger Ruhm den Helden, die für Freiheit und Unabhängigkeit der sozialistischen Heimat gefallen sind (qui signifie: « Gloire éternelle aux héros qui sont tombés pour la liberté et l'indépendance de la patrie socialiste »).

Ensuite vient un parvis sur lequel figure une statue de trois mètres de hauteur. Il s'agit d'une statue de la « Mère Patrie » (Mutter Heimat). Elle représente une femme pleurant son enfant mort pour la Patrie.

Le cimetière commence à cet endroit. Il s'étend derrière deux gigantesques drapeaux de granit rouge abaissés, gardés par des soldats agenouillés. Celui de gauche est âgé, celui de droite est plus jeune. En grand apparat et armés, ils rendent hommage à leurs camarades et gardent leur tombes.

Deux rangées de huit sarcophages représentent chacune les seize républiques composant alors l'Union soviétique. Des bas-reliefs sur les sarcophages représentent les guerres menées par le peuple soviétique. Y figurent également des citations de Staline, à droite en russe et à gauche en allemand.

Au bout de l'axe se dresse la statue en bronze d'un soldat de l'Armée Rouge du sculpteur Evgueni Voutchetitch qui porte un enfant sur un bras, pointe le sol de son épée et foule de son pied une croix gammée brisée.

L'enfant symbolise le peuple innocent qui peut espérer un avenir meilleur dans les bras du sauveteur. Sous la statue se trouve une coupole accessible où une mosaïque est visible.

Le monument est le point final d'un complexe d'un total de 10 hectares.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mémorial_soviétique_(Treptower_Park)

Вы можете найти объяснения на русском языке вот на этом веб сайте :

http://ru.wikipedia.org/wiki/Воин-освободитель_(монумент)





















Tuesday, April 20, 2010

ABBE NESTOR - Froyennes

Froyennes (Fraaien en néerlandais) est une section de la ville belge de Tournai, située en Région wallonne dans la province de Hainaut.

Historiquement le village de Froyennes a connu beaucoup de mouvements. Depuis la préhistoire Froyennes était un habitat humain et l’est resté jusqu'à l’époque romaine pour devenir une villa. C’est à partir du Xème siècle que l’on retrouve des traces de Froyennes sous la désignation d’un village, c’est le pape Pascal II qui le confirme dans un écrit à propos de la cathédrale de Tournai.

Depuis 1803 la paroisse de Froyennes appartient au doyenné de Tournai. Mais pour en arriver là, Froyennes est passé entre les mains de plusieurs seigneurs dont voici les plus important : Fief du roi de France, Froyennes qui au XIIIème siècle appartenaient aux seigneurs qui portaient son nom l’ont revendu aux Mortagne de la ville d’Audenarde qui gardèrent le territoire pour une centaine d’années. Ensuite il passa aux Ribemont vers 1350 qui après 50 ans le cédèrent aux Chin et aux Dimenche encore appelés « Le Lombart ». Ensuite Froyennes a été succédé aux Medelman de Bouré (1633), aux Succre de Belaing (1650), aux Hendricks (1700), aux La Grange de Nédonchel (1703), aux Desmatin de Cassau et pour finir aux Lossy (famille du dernier bougemestre de Froyennes à la fin du XIXe siècle).

La localité comptait plusieurs autres fiefs ; celui de Honnevain, celui de Beauregard, ceux de Flequieres de Casau et d’autres de moindre importance.

Froyennes est aussi un village religieux. On y retrouve huit lieux de recueillement qui servent pour la récitation annuelle du chapelet qui se déroule durant le mois de mai. Il y a :

- Notre-Dame de Fatima qui se trouve à la Chaussée de Lannoy,

- Notre-Dame de l’Oiseau qui se trouve à la Chaussée de Lannoy,

- Notre-Dame de Lourdes qui se trouve à la rue Abbé Nestor Frère,

- Notre-Dame de Bonsecours qui se trouve à la Chaussée de Lannoy,

- Notre-Dame de Beauraing qui se trouve au Chemin des Nonettes,

- Notre-Dame de la Délivrance qui se trouve à la Chaussée de Lannoy,

- Notre-Dame de Lourdes qui se trouve au Chemin Royer,

- Notre-Dame de Lourdes qui se trouve à la Rude de Fléquières.

Entre 1940 et 2000, le village à connu six prêtres : François Mainil, Joseph Derache, Henri Caudrelier, Maurice Lejeune, Jean Rossomme, Michel Decarpentrie.

Ce village a également souffert des guerres mondiales. On retrouve ainsi dans le cimetière de Froyennes une pelouse d’honneur dédiée à cette période de l’histoire. 88 tombes d'anciens combattants de la première guerre et de la seconde guerre mondiale s'y retrouve. Une stèle a également été posée sur laquelle on peut lire : « Pelouse d’honneur à la mémoire des combattants, souvenez-vous »

A l’occasion des fêtes du Centenaire de l’indépendance de la Belgique, les Froyennois ont placé un monument aux morts sur la place. Cette réalisation a été inaugurée le 5 octobre 1930. Sur ce monument on retrouve le nom des déportées, des prisonniers politiques, des combattants et des victimes civiles des guerres 14/18 et 40/45.

Actuellement le site le plus connu de Froyennes est son moulin à eau. Il a été construit au XIIIéme siècle et se situe à la rue Abbé Nestor Frère sur le ruisseau St Eloi. Ce moulin a subi plusieurs transformations et réparation mais il ne tourne plus. Il a servi de nombreuses années pour moudre les céréales. Les autres sites sont : le château de Froyennes ou le château de Beauregard de son véritable nom. Il se situe dans la même rue que le moulin. En face le parc et les étangs qui constituent les alentours de l’église de Froyennes.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Froyennes

Notre-Dame de Lourdes qui se trouve à la rue Abbé Nestor Frère







Moulin à Eau



Thursday, April 03, 2008

SAINT JACQUES ou Jacob. L'Eglise de Jacob

Jacob (hébreu: יעקב - ya`aqov ; arabe: يعقوب - ya`qūb) est un patriarche biblique. Il est le fils d'Isaac et Rébecca et le petit-fils d'Abraham. Il reçoit également le nom d'Israël après son combat avec Dieu (Gn 32:28) et selon d'autres traditions parfois erronées (qui influencèrent les peintres) contre un ange, parfois identifié à l'ange Gabriel. Son histoire est racontée dans le livre de la Genèse.

Le prénom Jacob a la même racine que le prénom Jacques. L'équivalent arabe est Yacoub.(source wikipedia)

Voici l'Eglise Saint Jacob à Tournai.


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